Quand l’ignorance est coupable et collective

Publié le par lereveilmondial.over-blog.com

Les manuels de morale distinguent trois types d’ignorance : l’ignorance invincible, l’ignorance crasse ou stupide, et l’ignorance affectée. La première est de celui qui manque de connaissance et est dans l’impossibilité de savoir. La seconde est de celui qui peut savoir et comprendre, mais ne fait aucun effort. La troisième est de celui qui connaît la vérité et fait semblant de ne pas la connaître. C’est celle des autorités politiques, religieuses, économiques, sociales, sanitaires, etc., et de tous les citoyens qui trouvent un intérêt matériel à garder un petit doigt dans le rouage du mensonge collectif. Il s’agit d’une complicité individuelle et d’une culpabilité collective.

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Aujourd’hui, les preuves d’une manipulation dans les domaines économiques, financiers, religieux, climatiques, sanitaires, etc., s’accumulent et même ceux qui sont d’une ignorance invincible pressentent que le mensonge est universel. Pour transformer des pressentiments en une certitude, il est possible que la Providence impose de nombreux couacs à cette élite auto-proclamée dans l’exécution de son agenda [dont Copenhague]. Malgré cela, les choses iront d’une manière inexorable jusqu’au dénouement et au châtiment divin dont les événements actuels sont les signes prémonitoires et prophétiquement incontournables.

Ce n’est pas la première fois que le péché d’aveuglement des hommes tend à devenir collectif et individuel, suite à un refus de voir individuellement et collectivement. Cette complicité dans le mensonge et dans le crime contre la vérité rappelle ce mot de Joseph de Maistre, commentant l’assassinat du roi Louis XVI : « C’est un crime contre la souveraineté et jamais crime n’aura eu autant de complices. Chaque goutte de sang de Louis XVI coûtera la mort de milliers de Français » (Considérations sur la France).

Une trahison à tous les niveaux…

Dans une chronique de France Inter du 7 décembre 2009, intitulée Copenhague, espoirs et inquiétudes, Bernard Guetta concluait : « Copenhague est le premier signe d’amorce d’une gouvernance mondiale… ». Dans le prolongement de l’encyclique de Benoît XVI Caritas in veritate appelant « une véritable Autorité politique mondiale », un ecclésiastique catholique danois justifiait la décision prise par ses supérieurs d’ordonner de faire sonner les cloches des églises du pays afin de « sacraliser cet événement » [Copenhague] ! Le quotidien danois Jyllands-Posten a vertement critiqué cette « attitude de l’Eglise catholique qui consiste à présent à sacraliser l’opinion prédominante2 parmi les experts du climat. C’est un pas vers le terrorisme de la pensée ». Un terrorisme subi par certains de nos lecteurs, éminents scientifiques sanctionnés dans leur carrière pour avoir refusé : de cautionner la fable du réchauffement climatique par l’activité humaine, et d’apposer leur signature au rapport du trop fameux GIEC (groupe d’expert intergouvernemental sur l’évolution du climat).

Par conséquent, entendre des ministres d’Etat affirmer qu’ils vont tout faire pour imposer le plan génocidaire du cartel synarchiste à Copenhague au motif qu’il est cautionné par la majorité des scientifiques, est nécessairement l’expression d’une grave déficience mentale et/ou un jeu politique à court terme consistant à focaliser l’attention du public ailleurs que sur la crise FABRIQUEE par des banquiers synarchistes. Ces politiciens si peu soucieux du bien commun et si malléables, si aveuglés par leur train de vie et leur adhésion à de multiples réseaux plus ou moins mafieux, ne sont les pas les seuls responsables du drame qui se joue. De Washington à Bruxelles, tous les acteurs clés sont en place pour étiqueter officiellement le dioxyde de carbone comme un polluant majeur, un gaz à effet de serre significatif, et imposer une « taxe carbone ». Ce, au moment même où les preuves s’amoncellent d’un spectaculaire changement du temps vers un climat plus froid ! Il leur faut donc aller vite afin que les mesures prises par les instances supranationales coïncident avec la phase II de la crise sanitaire, celle qui doit nous mener inéluctablement à la PESTE et au génocide de plusieurs centaines de millions d’hommes.

S’agissant de la situation financière et économique, chaque jour désormais, s’amoncellent des nouvelles confirmant une future catastrophe aux conséquences bien plus douloureuses que la vague des subprimes.

Les entreprises débauchent afin de gagner des marges bénéficiaires, mais les chiffres d’affaires ne sont plus au rendez-vous. Quant aux licenciés, ils ne tireront pas la consommation de 2010 vers le haut !

Quant aux Etats, ils filent vers la banqueroute, car il n’y a pas de frein à l’endettement et la phase II est devenue inéluctable4. A ce jour, les emprunts nationaux ne sont que des subterfuges d’agenda politique pour éviter d’être là le jour de la visite de l’huissier du FMI et de la Banque mondiale, lorsque les créanciers des Etats demanderont leur argent5.

Genèse de Copenhague… et du gros canular génocidaire

Récemment, Dennis Meadows, l’expert en ingénierie sociale du MIT, a publiquement avoué que l’un des objectifs de la fraude du réchauffement climatique était de réduire la population mondiale à 2 milliards d’individus. Cela dit, voyons maintenant la genèse de cette affaire Copenhague, de décembre 2009.

Roger Revelle, océanographe, a servi dans la Navy pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il devient directeur du Scripps Oceanographic Institute à La Jolla, à San Diego, en Californie. Il voit alors l’opportunité d’obtenir un financement important de la Navy pour faire des mesures et des recherches en mer dans les atolls du Pacifique où l’armée américaine réalisait des tests de bombe atomique. Il engage Hans

Suess, un chimiste renommé de l’université de Chicago qui était très intéressé par les traces de carbone dans l’environnement par suite de la combustion des carburants fossiles. En 1957, pour obtenir des fonds et financer leurs études, tous deux rédigent un article où ils émettent la possibilité que le dioxyde de carbone puisse créer un effet de serre et provoquer un échauffement atmosphérique. Les fonds versés par

les fondations du cartel bancaire permettent à Roger Revelle d’engager David Keeling, un géochimiste qui va l’aider à concevoir un moyen pour mesurer le contenu atmosphérique de dioxyde de carbone. Dès 1960, David Keeling publie son premier article montrant l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère et associant l’augmentation à la combustion des carburants fossiles. Grâce à cela, les leaders occultes du mondialisme utilisèrent ces articles de recherche pour en faire le socle de la science du réchauffement global, même s’ils n’apportaient pas la preuve que le dioxyde de carbone était effectivement un gaz à effet de serre. En outre, ils n’expliquaient pas comment ce gaz à l’état de traces, seulement une minuscule fraction de l’atmosphère, pouvait avoir un impact significatif sur les températures.

LIESI rappelle que cette affaire survient au moment même où les banquiers internationaux financent l’émergence d’un mouvement environnementaliste appelé à triompher aujourd’hui, et que les marionnettes qui nous gouvernent cherchent à imposer comme un dogme de la future religion universelle. L’un des soutiens de ce mouvement n’est autre que Gorbatchev, agent KGBiste formé au plan Andropov visant à l’effondrement de l’Europe de l’Ouest. La montée du député vert européen Cohn Bendit (ce caméléon politique, hydre à mille têtes, néo-libéral de gauche), adulé par les médias, pourrait alors prendre tout son sens dans la dernière… et ultime étape !

Clôturons cette note par cet extrait de la Revue du monde catholique du 15 avril 1907, si actuelle : « La France paraît un pays tombé entre les mains d’une bande d’ignorants et de malfaiteurs qui prennent les idées aux retours du bon sens, et les intérêts en opposition à toute probité. Des gouvernements, dans le sens de gouverner, il n’en est pas question ; de patriotisme, pas davantage. La bande d’étourneaux picoreurs se presse autour de l’assiette au beurre ; ils se pressent à qui en aura meilleure part : il n’existe plus, pour ces volatiles, d’autre question ».

Extrait du Bimensuel LIESI N°197

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